FAQ

Voici les vérifications à effectuer :

• Déterminez quel différentiel saute : 30 mA ou 300 mA.
• Débranchez tous les appareils du circuit concerné, puis rebranchez-les un par un pour identifier le fautif.
• Si le différentiel saute même sans appareil branché, il peut s’agir :
• d’un problème d’humidité (prise électrique extérieure, salle de bain…),
• d’un défaut d’isolement dans le câblage,
• d’un défaut dans le tableau électrique,
• ou d’un appareil défectueux. 

Voici les étapes typiques pour un raccordement électrique :  

1. Demande de raccordement auprès du gestionnaire de réseau (ex. Resa ou Ores), en mono ou triphasé. 
2. Réception du devis et planification des travaux de raccordement. 
3. Installation électrique par votre électricien (Ovelec s’en charge si vous le souhaitez). 
4. Visite de contrôle par un organisme agréé (Electrotest, Procontrol…) pour obtenir l’attestation de conformité RGIE. 
5. Mise en service par le gestionnaire de réseau.  

Non, le nouveau compteur digital ne tourne plus à l’envers comme l’ancien. Avant 2024, les compteurs mécaniques pouvaient reculer quand vous injectiez de l’électricité dans le réseau. Maintenant, les compteurs digitaux mesurent séparément l’électricité que vous envoyez au réseau et celle que vous utilisez. Ils calculent la différence sans avoir besoin de tourner à l’envers. 

Jusqu’à fin 2030 pour toute installation réalisée et réceptionnée avant le 31 décembre 2023.

Alimenter votre boiler uniquement via vos panneaux solaires permet d’augmenter votre autoconsommation, c’est-à-dire d’utiliser directement l’énergie que vous produisez, ce qui réduit votre facture d’électricité. Pour cela, le boiler doit être relié à une horloge programmée pour fonctionner principalement durant la journée, quand la production solaire est maximale. Si la production solaire est insuffisante, le système sera alimenté sur le réseau électrique pour assurer le chauffage de l’eau. 

Cela arrive souvent après un changement de fournisseur mal conseillé. Si vous êtes toujours sous le régime de compensation (installation avant le 31/12/2023), il est crucial de ne changer de fournisseur qu’à la date de votre relevé annuel. 

Vous perdez le surplus de production déjà injecté. Par exemple, si vous changez de fournisseur en septembre au lieu de février (date de votre relevé), vous perdez la “réserve” produite au printemps/été et devrez à nouveau payer votre électricité en hiver. 

Oui, les batteries permettent de maximiser votre autoconsommation : vous stockez l’énergie produite en journée pour l’utiliser le soir, ce qui réduit vos prélèvements sur le réseau. Et plus vous consommez votre propre énergie, moins vous payez de redevance prosumer. 

Oui, c’est tout à fait possible. Si votre installation dispose déjà d’un onduleur hybride, l’ajout d’une batterie est simple.
Dans le cas contraire, nous proposons des batteries dites “déportées”, comme la batterie Azimut, qui fonctionnent indépendamment de l’onduleur existant. 

Cela dépend de votre profil de consommation et de la production solaire disponible.
Pour un ménage moyen, une batterie de 5 kWh est généralement suffisante.
Si vous disposez d’une pompe à chaleur ou d’une grande habitation, il peut être judicieux d’opter pour une capacité plus élevée. 

Cela dépend du modèle de batterie. Nous proposons des solutions chez SMA et Azimut qui i ntègrent une fonction « backup ». Cette fonctionnalité permet d’alimenter certaines parties de votre installation électrique même en cas de coupure du réseau, grâce à l’énergie stockée dans la batterie. 

En Belgique, la déclaration de votre alarme est obligatoire si elle émet un signal audible depuis l’extérieur.
Elle doit être faite dans les dix jours suivant l’installation, via le site Police-on-Web. Cela permet aux forces de l’ordre d’intervenir plus efficacement en cas d’intrusion.  

Si votre centrale utilise la ligne fixe pour transmettre les alertes, elle ne pourra plus communiquer avec vous ni avec la centrale de télésurveillance.
Dans ce cas, il est fortement recommandé de la remplacer par un transmetteur GSM. 

 Il permet à votre alarme d’envoyer des alertes (SMS, appels) via le réseau mobile, même sans connexion internet ni ligne fixe. C’est aujourd’hui la solution la plus fiable, rapide et sécurisée, surtout en cas de coupure électrique ou de sabotage de ligne.  

Une carte prépayée peut se désactiver sans prévenir si elle n’est pas rechargée régulièrement.
Une carte SIM avec abonnement garantit une connexion permanente et continue, essentielle pour la sécurité. C’est également une exigence des compagnies d’assurances. 

Le système filaire offre une meilleure fiabilité et durabilité : il ne subit aucune interférence radio et ne dépend pas de batteries à remplacer.
Il est idéal pour les maisons en construction ou en rénovation. Le sans-fil, quant à lui, est plus facile à installer dans un bâtiment existant, mais il nécessite davantage d’entretien (remplacement des piles, supervision du signal) et présente une durée de vie plus limitée que les systèmes filaires. 

Oui.Une alarme inactive peut présenter des défauts invisibles (batteries faibles,capteurs HS, perte de connexion…).
Une vérification annuelle est fortement recommandée, voire obligatoire, même si l’alarme n’est pas utilisée. 

Il s’agit d’une fonction de sécurité intégrée : la sirène dispose d’une batterie autonome et se déclenche si celle-ci est vide après une coupure de courant.
C’est un mécanisme dissuasif automatique, présent sur tous nos modèles.  

Une recharge complète équivaut à environ 30 kWh, ce qui correspond à un coût d’environ 12 euros. 

 Le temps de charge dépend de plusieurs facteurs :  

• Type de véhicule : un véhicule 100% électrique prend plus de temps à charger qu’un hybride. 
• Capacité de la batterie : plus elle est grande, plus la charge est longue. 
• Puissance de la borne : une borne 7,4 kW (monophasée) est plus lente qu’une 11 kW ou 22 kW (triphasée). 
• Nombre de véhicules en charge simultanément : si plusieurs voitures partagent la borne, la puissance peut être répartie. 
• Chargeur embarqué du véhicule : certaines voitures ne peuvent pas utiliser toute la puissance de la borne.  

En termes généraux, on peut estimer le temps de chargement à environ 20 heures avec une prise de courant domestique, entre 4 et 8 heures avec une borne Ovelec, et entre 20 et 40 minutes avec une borne rapide sur autoroute. 

Le port P1 permet de lire en temps réel la consommation électrique du bâtiment. Certaines bornes peuvent s’y connecter pour :  

• Adapter la charge du véhicule selon la consommation de la maison (évite les surcharges, les coupures de courant), 
• Maximiser l’autoconsommation si vous avez des panneaux photovoltaïques.

 La réception officielle (par un organisme agréé) est obligatoire et permet de :  

• Vérifier la conformité RGIE, 
• Garantir la sécurité de l’installation, 
• Être en règle en cas de contrôle, assurance ou audit.

La déclaration est obligatoire et permet notamment :

• D’ajuster votre compteur si nécessaire 
• D’éviter les surtensions sur le réseau local 
• De respecter les obligations légales 
• Et à votre gestionnaire de réseau d’adapter ses infrastructures. 

 Vous pouvez :  

• Installer une borne à accès public (via badge ou appli), 
• Mettre en place un système de facturation (OCPP, plateforme de gestion), 
• Autoriser des utilisateurs spécifiques (employés, visiteurs, clients) avec un suivi par identifiant ou QR code.  

Passer par un intermédiaire comme Ezcharge permet de bénéficier d’une facturation automatique, d’un remboursement simplifié de l’électricité consommée, ainsi que de la récupération de la TVA. Cela offre aussi la possibilité de partager la borne avec vos amis ou visiteurs